Torah

Seuil 03-séquence-09 Torah nouvelle

Cette séquence évoque la Torah nouvelle, impossible à vivre ! Elle est inséparable du pardon, de la re-création, de la résurrection que Jésus opère.

  1. À quelle pratique de la Torah Jésus se réfère-t-il à l'époque ?
  2. Quelle justice ? Comment envisager qu'une simple fâcherie puisse conduire au tribunal ?
  3. Quelle justice ? Comment le Dieu qui, au 1er seuil demandait de massacrer les ennemis, peut-il demander, au 3ème seuil, de les aimer ?
  4. Quelle justice ? Pourquoi Jésus retourne-t-il la règle d'or ?
  5. Quelle justice ? Que signifie "ne pas juger", "recouvrir la justice par la miséricorde" ?
  6. Quelle justice ? Comment vivre le mariage ?
  7. Comment comprendre un "Notre Père" qui ne correspond pas à la version liturgique actuelle ?
  8. Quelle pratique (halakha) Jésus réclame-t-il ?
  9. Finalement, d'où vient son autorité ?
  10. Dieu parle-t-Il vraiment aux hommes ?
  11. Impossible à vivre ?
  12. Comment croire à cette révélation d'une re-création, d'une résurrection ?
  13. Quel sens donner à un tel dessaisissement de sa puissance ?
  14. Pourquoi, au coeur du sermon sur la montagne, cette prière de Jésus, le "notre Père" ?
  15. Alors, judaïsme et christianisme : deux conceptions de la liberté morale ?

Seuil 02-séquence-23 Torah et Sagesse

À l'époque d'Esdras, la Torah, le Temple, le Mémorial juif ont pris des dimensions internationales. À l'époque d'Alexandre, c'est le monde grec qui est présenté comme international, et sa sagesse comme universelle. Deux mondes se rencontrent.

"Mais comment concilier la sagesse des Grecs avec la Torah de Moïse et le Temple de Dieu ?"

Derrière la sagesse grecque et derrière la Torah d'Israël, c'est le même Dieu, l'Unique. On peut accepter de traduire les textes de Torah en grec. On peut introduire dans la Torah la langue grecque et même la langue araméenne.

Seuil 02-séquence-22 La Torah

"La Torah de Moïse serait la référence pour tout réconcilier." : Longue période où la Torah et le Temple vont peu à peu être perçus comme fondements de tout. Le dialogue avec la sagesse grecque va les faire percevoir comme "préexistants" en Dieu. Le "Mémorial" donne au monothéisme et à l'universalisme, "une fois encore", une tout autre dimension