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Notre-Dame de Vie : Vénasque 20 août 2015 : par Jacques Bernard [Quelle guerre ?]

  • Josias comprend que sa conception de la guerre est un leurre.
  • Il faut ouvrir le traité d’Alliance sur …
  • Quelque chose qui est capable de dépasser nos guerres mimétiques, nos combats tribaux, même nos combats contre les Baals…
  • Ce serait quelque chose qui nous permettrait de dire même dans les combats que l’on perd : « c’est pas notre Dieu qui est vaincu, c’est nous qui n’avons pas su élever les enfants qu’il nous a donnés. »
  • Pas du donnant donnant :  les commandements sont des mandements communs : je t’ai donné un enfant, tu l’élèves !
  • Un échec à la guerre : « C’est moi qui n’ai pas su élever son enfant ! »
  • c’est donc Lui qui reste le maître du jeu.
  • Alors, de découvertes de Dieu en découvertes de Dieu, on arrivera peut-être un jour à Babylone en plein échec, mon péché est trop grand, tu m’avais donné ta famille à élever…
  • On arrivera à un monothéisme d’amour alors que le vainqueur du jour, Cyrus, était pour un monothéisme de la lumière.
  • Il nous a punis en nous conduisant dans un creuset, dans un jeu mimétique encore plus vaste, où nous pourrons confesser un Dieu d’amour, vainqueur et créateur d’un dieu lumière. (deuxième seuil)
  • Ici nous sommes toujours dans le premier seuil : ils sont encore polythéistes.
  • Avec eux il faut donc revoir leur mémoire pour découvrir comment ils en sont arrivés à ce traité d’alliance avec un Dieu qui me donne son enfant à élever, dans sa Torah.